Raoul GLABER et les fresques de Moutiers

Publié le par Serious Frank

                
               
RAOUL GLABER EN COURS....
          et les fresques de Moutiers

Je souhaiterai bien plus que soumettre ce présent sujet
concernant un certain Raoul Glaber car selon moi,
on ne pourrait ainsi parler des fresques de l'église
de Moutiers sans parler avant tout de ce Raoul Glaber
en question.

       
                    Raoul Glaber et le diable...
                 

A la suite de ce que je nommerai ainsi donc
une inspiration d'une révélation,
lors de mes recherches,
je suis tombé sur cet article ci-dessous, et qui tiré
d'un guide routier et c'est donc à partir de ce même article,
que  je suis tout aussitôt tombé "comme nez à nez" sur
ces fresques de l'église de Moutiers:
             


...UN SIGNE DU DESTIN ?
Etant depuis toujours en simple recherche de vérité
et ceci bien avant-même d'être devenu pour la première fois mais aussi plus par la force des choses, ce que l'on appellerait un fan,
et notamment celui de Mlle Elodie FREGE...

Eh bien je dois dire que l'homme en recherche de vérité
a pris le pas sur le fan(ceci tout le restant plus ou moins !)

Mais que depuis que j'ai pris connaissance de ces fresques
dont je ne cesse de les étudier tout en les scrutant
scrupuleuseument et de ce qu'elles comportent
et surtout dans la façon qu'elles se seraient ainsi révélées...

...OU UN SIGNE DU DIVIN ?
Que si des fresques s'i'nspirant tout droit de certains chapitres
de L'Apocalypse se manifestent un beau jour comme cela !

Je devrai tout aussi dire en me réctifiant que
l'homme de foi aurait à son tour pris le pas sur
l'homme-chercheur de vérité.


Cela en serait pour ma part, bien plus qu'un simple signe
du destin, même si cela en serait bien un, mais...
je dirai même voire plus ! un signe du Divin !

Le hasard n'existe pas car les choses n'arrivent
jamais toutes seules.

Les fresques de Moutiers en seraient de même-là pour
le prouver tout en le démontrant.


               RECAPITULATIF

Il serait plus qu'utile de vouloir ainsi le rappeler
que la relation entre :
Mlle Elodie FREGE
et les fresques de l'église de Moutiers
n'en serait à fortiori plus à faire ou à s'en poser de même
la question ! (et ceci ne serait-ce qu'avec tout
ce qu'elles démontrent).


1- Que ces fresques d'
un tout autre siècle et appartennant
à cette petite Eglise de Moutiers , en seraient apparues
qui plus est par enchantement en l'année 1982 ,
c'est à dire sans le moindre secours de la main de l'homme.

2- Que le village de Moutiers étant situé dans L'Yonne
(département 89) et est de même situé dans cette région
que l'on appelle La Puisaye et n'est qu'à seulement 7
kilomètres  d'une petite ville qui a pour nom Treigny.

4- Que Mlle Elodie FREGE serait
de même née à Treigny
en cette année 1982.

Or, j'estime tout en le constatant qu'il y aurait effectivement
de quoi se poser bien plus que des questions,
mais des interrogations à la tout va...

Surtout qu'en ayant observé la représentation de la plupart
de ces fresques, et ceci non sans de manière attentive,
car celles-ci en démontreraient tout ce qui
environnerait de près comme de loin
Mlle Elodie FREGE
sans parler encore de sa propre
image !

Pour en revenir à notre personnage principal...           


Qui est  Raoul Glaber ?
Raoul Glaber
ou autrement appelé Le Glabre,
c'est à dire en ancien français le chauve,
était bien plus qu'un simple moine, il était avant tout
un chroniqueur de son époque, on lui disait d'écrire les faits,
tel un véritable journaliste de notre époque,
et dont ce moine-chroniqueur vivait aux alentours
de l'an mil à Moutiers.

Raoul Glaber est pour moi: L'Homme-Clef !
Pour ma part, j'essaierai tant bien que mal de vouloir mettre
si l'on pourrait dire en avant ce moine avec mes sujets
concernant non seulement ceux
des fresques mais aussi
et surtout  de L'Apocalypse car celles-ci s' y en réfèrent
d'autant plus.


                                   LES MOTS DE RAOUL

Je souhaiterai argumenter de la façon suivante concernant
Raoul Glaber qui est que pour ma part, il devait très certainement
faire de l'esprit; à savoir concernant les deux sujets qui suivent:


             UN BLANC MANTEAU D’ÉGLISES
                      ou la plaque de plâtre...

“…Comme approchait la troisième
année qui suivit l’An Mil, une véritable
émulation poussait chaque communauté chrétienne
à avoir une
église plus somptueuse que celle
des
voisins. On eût dit que le monde revêtait
de toutes parts un blanc manteau d’églises…”
.

                    
ARGUMENTATION
Et si de par ces mots, Raoul Glaber, parlant ainsi de
ce "blanc manteau d'églises", voulait en quelque sorte
tout aussi bien nous faire sous-entendre la plaque
de plâtre qui avait recouvert l'ensemble des fresques
de l'Eglise de Moutiers ?

Parce qu'il s'avère que de par ses mots, ce sacré Raoul
savait faire de l'esprit tout en voulant jouer avec ses propres
mots bien à lui !



                 A PROPOS DU DIABLE...

Tiens donc !!!
Alors comme cela, il aurait aperçu le diable soit disant  !?

Oui tout juste à ce propos qui selon les dires même
de Raoul, qu'il aurait soit disant vu ou aperçu le diable !

Or, imaginons un seul instant que cela en serait tout autre
chose...que Raoul Glaber faisait pour ainsi dire encore
et toujours de l'esprit et ceci étant fait dans une certaine
intention  pour en cacher son sens bien profond !

 

“… je vis surgir au pied de mon lit une espèce
de petit homme horrible à voir. Il était de stature médiocre,

 avec un cou grêle, un visage émacié, des yeux fort noirs,
le front rugueux et crispé, les narines pincées, la bouche
 proéminente, les lèvres épaisses, le menton fuyant et
très étroit, une barbe de bouc, les oreilles velues et effilées,
les cheveux hérissés en broussaille, des dents de chien,
le crâne en pointe, la poitrine enflée, une bosse sur le dos,
les fesses frémissantes, des vêtements sordides…”.

Une description qui fait froid dans le dos.

Cette toute dernière phrase ci-dessus étant tirée
de monsieur...
Jean-Luc Dauphin, Conseiller Général -
Maire de Villeneuve-sur-Yonne, enseignant,
chercheur et président-fondateur
d’une société d’histoire, qui a
aimablement mis son érudition au
service de “Au fil de l’Yonne”.

Or, je souhaiterai vous dire Monsieur ....
Si pour vous ou quiconque,que la description du diable
faite par Raoul Glaber,
comme vous le dîtes
en ferait froid dans le dos ...

Moi, je me pose une bien bonne question...

Comment se fait-il qu'en tout premier lieu,
que pour Raoul Glaber en ayant donc vu ou
aperçu soit disant le diable en personne,
qu'il n'aurait pas aussi eu froid dans le dos ?

Car ce qui me préoccupe, dans sa propre description
du diable,dont celle-ci en serait fort bien détaillée,
de la tête au pied, est qu'il ne nous fait aucunement
part de ses émotions ?
Aucune peur !? aucune angoisse !?

Je pense que c'est exactement là qu'il faudrait avant tout
commencer par se poser bien des questions !


        
EN ETAIT-CE BIEN LE DIABLE ?

En effet, était-ce bien réellement le diable après tout
que Raoul Glaber aurait vu ?

Ne ferait-il pas encore, et ceci toujours avec
ses propres mots bien à lui, une simple allusion !?

De cette simple allusion que tendrait Raoul Glaber
plutôt à vouloir nous faire dire que lorsqu'il avait écrit
avoir vu surgier au pied de sont lit ....

Or, le pied en rapport direct avec son lit,
en serait fort bien afin de désigner la ville de Treigny
avec le petit village de Moutiers !

Car quand je constate tout en l'observant que Raoul Glaber
ne ferait que de vouloir ainsi reprendre un certain passage
du chapitre XIII de L'Apocalypse dans une toute autre version
ou traduction de La Bible

Voici ce qui me tarabiscote un tantinet soit peu l'esprit,
en m'ayant aperçu que Raoul Glaber reprenait les             

                      ...
JE VIS SURGIR....

Car ma question en serait la suivante :
Est-ce que Raoul Glaber n'aurait-il pas tout simplement
fait exprès
qui serait ainsi de vouloir reprendre le passage
du texte du chapitre XIII de L'Apocalypse ?

Voici en ces propres termes, les mots de Raoul...

...je vis surgir au pied de mon lit...

Et ceux de Saint-Jean dans une toute autre et même version
de La Bible...
               
            Et je vis surgir de la mer une bête...
            Et je vis monter de l'abîme une bête...
            Et je vis s'élever de la mer une bête...

Et la version donc de Raoul : (Et) je vis surgir...

 

                          QUESTION

Mais que serait exactement pour Raoul Glaber,
le pied en rapport direct avec son lit ?



Ne serait-il pas afin de vouloir dire alors qu'il vivait à Moutiers,
que de l'église de Moutiers, soit de l'église ou de Moutiers,
celle-ci en serait son lit et que de son pied en question,
en serait  de même afin de vouloir désigner indirectement
la ville de Treigny ?


LES FRESQUES DE L'EGLISE DE MOUTIERS

De ce qu'il faudrait en dire, des fresques de L'Eglise
de Moutiers est que celles-ci s'inspirent tout droit des textes
de L'Apocalypse.

Et en voici ma propre interprétation de certaines fresques
sous une forme non moins officielle, les mettant
en rapport avec certains textes des chapitres de
L'Apocalypse.


LA NAISSANCE DE L'ANTECHRIST(E)

En tous cas pour ma part, la représentation de cette fresque
ci-dessous, n'en serait en aucun cas celle de La Nativité !

Non seulement, il ne pourrait ainsi s'agir de la naissance de Jésus-Christ, mais encore moins que le personnage étant
de même représenté au premier plan, n'est point La Vierge-Marie !

Avec tous les éléments que j'ai pu trouvé à travers cette fresque,
ne sont qu'en quasi-parfaite symbiose avec le chapitre XX
de L'Apocalypse.

Voici ci-dessous, que sont des passages du chapitre XVII
de L'Apocalypse, et ce à quoi précisément, les fresques
n'en feraient que de s'en référer.

             EXTRAITS DU CHAPITRE XVII

Avec laquelle les rois de la terre se sont corrompus,
et qui a enivré du vin de sa prostitution les habitants
de la terre.

Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate,
elle était parée d'or, de pierres précieuses et de perles,
et avait
à la main un vase d'or plein des abominations
et de l'impureté
de sa fornication.

Et je vis cette femme enivrée du sang des saints et du sang
des martyrs de Jésus


                  LA FEMME DE POUPRE ET D'ECARLATE

                  
Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate(chap. XVII)


                    LE VIN DE SA PROSTITUTION


Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate,
elle était parée d'or, de pierres précieuses et de perles,
et avait
à la main un vase d'or plein des abominations
et de l'impureté
de sa fornication.

Et je vis cette femme enivrée du sang des saints et du sang
des martyrs de Jésus.

                         LE CHRIST PANTOCRATOR


Je suis l'Alpha et l'Oméga, le commencement et la fin, dit le seigneur,
qui est, qui était, et qui doit venir, le Tout-Puissant(chap.I)
         

                                  LE BLASPHEME

                        
Et il lui fut donné une bouche qui se glorifiait insolemment,
et qui blasphémait; et elle reçue le pouvoir de faire
durantquarante-deux mois, elle ouvrit donc la bouche
pour blasphémait contre Dieu, pour blasphémait
son nom et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.

(Passage tiré du chapitre XIII de L'Apocalypse)

                                      
LE DRAGON
                          
Et le dragon lui donna sa force et sa grande puissance
(Chap.XIII)

                     LA BETE VENANT DE LA MER

Et je vis s'élever une bête/            La grande prostitutée

Et je vis s'élever de la mer une bête qui avait sept têtes
et dix cornes, et sur ses têtes, des nomns de blasphème.

          
LE FAUX-PROPHETE (ou la bête venant de la terre)




                            LE PECHE DE LA CHAIR(1)

         
          Et en la voyant, je fus sais d'un grand étonnemment

                                        LA FEMME(2)

                     
                        Et je vis cette femme(1)

                                              LA FEMME(1)

                                            
                                        Et je vis une femme(2)


                                   L'IDOLATRIE

             
                      De ce qui est sacrifié aux idoles

LA CONDAMNATION DE LA GRANDE PROSTITUEE

    



                                  SON NOM: MYSTERE

                    
Et sur son front, ce nom était écrit: Mystère.


Dans cettte simple tentative afin de vouloir interpréter
la représentation de cette fresque ci-dessous, je l'associerait
avec ces passages du chapitre II.

                                       JEZABEL

               
                Jézabel accablée de maux et réduite au lit.

Extrait du chapitre II(Eglise de Thyatire)
         
           
Mais j'ai quelque chose à vous reprocher,
qui est que vous souffrez que Jézabel,
cette femme qui se dit prophétesse,
enseigne et séduise mes serviteurs,
pour les faire tomber dans la fornication,

et leur faire manger ce qui est sacrifié aux idoles.
Je lui est donné du temps pour faire pénitence,
et elle n'a point voulu se répentir de sa prostitution.
Mais je m'en vais la réduire au lit, et l'accabler de maux
et d'affliction ceux qui commettent l'adultère avec elle.


                                    LA MARIANNE
NB:PURE TENTATIVE toute personnelle
Même si cette fresque, selon moi, représenterait Marie et Anne,
Cette même représentation irait encore bien plus loin dans
ce qu'elle tendrait vouloir ainsi représenter...

                              
                 La Vierge-Marie et sa mère Sainte-Anne

Car de ce bras tendu de Sainte-Anne et posé sur l'épaule-même
de sa fille, La Vierge-Marie, cela pourrait tout aussi bien indiquer,
par la couleur rouge, la corruption.


     LES ROIS DE LA TERRE ET LA PROSTITUEE
Je crois qu'à travers ce que démontre assez bien
et ceci de façon bien réelle, cette même fresque,
celle-ci tendrait à vouloir indiquer ce qui serait être la prostitution.

                                 
                  Le roi et la prostituée tenant un vase

Avec laquelle les rois de la terre se sont corrompus,
et qui a enivré du vin de sa prostitution les habitants
de la terre.

Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate,
elle était parée d'or, de pierres précieuses et de perles,
et avait
à la main un vase d'or plein des abominations
et de l'impureté
de sa fornication.



                             L'ANGE DE LA MOISSON

                             
                L'ange assis et la faux jetée en terre

Extrait tiré du chapitre XIV:
Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte
à celui qui était assis sur la nuée:
Jetez votre faux et moissonez;

Car le temps de moissoner est venu, parce que la moisson

de la terre est mûre.

                                 LA BONNE NOUVELLE
                                  

                      LES NOCES DE L'AGNEAU
              

                         LA PATIENCE DES SAINTS
           










 

 

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C
elle a l'air tres belle cette fresque; je ne connaissais pas...
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